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BREF GUIDE D’ACHAT D’UNE MAISON

Pubblicazione dell’ Associazione Sindacale Piccoli Proprietari Immobiliari (ASPPI), a cura di Cesare Boldorini

 

 

Quel  type d’habitation?La valeur de l’appartementLes conditions du palaisLes conditions de l’appartementLibre ou loué?Les responsabilités du  vendeurLes phases de l’achat et vente L’Agence immobilière Les frais pour l’acte et les impôts Les  facilités  pour  l’achat d’une première une maison Lorsqu’ on perd  les facilités « première maison »Comment calcule-t-on  les impôts ?Comment calcule-t-on la valeur cadastrale ?Conseils finals pour l’achat d’une maison 

 

 

 

Quel  type d’habitation ?

Vous avez décidé d’acquérir une maison. 

Voyons les aspects plus importants à contrôler sous le profil technique et légal. Ne vous faites pas de réserves à ne pas demander la documentation que nous vous indiquons. Vous êtes entrain d’investir beaucoup d’argent et vous devez avoir la certitude de ne  pas tomber dans des  surprises désagréables.

1) Vérifier si l’habitation a été construite régulièrement. S’il elle n’est pas récente et a été vendue et acquise plusieurs fois,  régulière certainement. Si elle a été construite  peu d’années avant ; le propriétaire est-il sûrement en possession de la concession du bâtiment et du certificat de propriété.

2) Si l’habitation a été construite abusivement,  vérifier si le propriétaire a   présenté  à temps la  demande de rémission édile et s’il est en possession de la concession  sanatorium délivrée par la  commune. Sans ce document, l’acte notarié ne vous sera pas délivré.

3) Si l’habitation est une nouvelle construction, le même  constructeur doit  vous montrer toute la documentation qui prouve la régularité de l’édifice. Dans le cas contraire, vous demandez au vendeur une  copie de la concession du bâtiment et de pouvoir voir le projet approuvé par la Commune.

En cas des résistances, des méfiances,  n’acquérez surtout pas un immeuble s’il ne résulte pas que c’est une maison d’habitation. Parfois les locaux du dernier étage ou du rez de chaussée ne  correspondent pas au projet original, mais sur l’acte notarié figureraient comme magasins ou  greniers. 

Donc, vous vous trouveriez à payer  un magasin dépôt au prix d’un appartement, avec des conséquences désagréables : vous ne pourrez pas payer ni le gaz ni  l’électricité, et vous vous trouveriez en main un immeuble sans valeur et sans possibilité d’être assaini.

4) Vérifier qu’il n’y ait pas d’hypothèques sur l’habitation, c’est -à- dire si le propriétaire n’a pas contracté des dettes en offrant à titre de  garantie son appartement, en faisant un gage hypothécaire par la  conservation des titres immobiliers.  En cas d’hypothèques, il  faudra se référer  au chapitre « les phases de l’achat et vente » au point 6).

5) Avant de contracter l’acte d’achat  vente, demander à l’administrateur du lieu, en montrant le  compromis, une déclaration dont résulte que le vendeur n’a pas de dettes à la copropriété. Dans le cas  contraire, la copropriété  pourra te sommer ou se référer à l’acheteur.

6) Vérifier si le vendeur a le titulariat pour vendre: S’il n’est pas l’unique propriétaire, il est nécessaire  d’avoir la certitude que tous veulent vendre. Cela vaut dans les cas de société, de copropriété et de communion des biens pour les conjoints. 

7)  Il est de même un autre  aspect  à considérer: la provenance de l’appartement, particulièrement dans des situations dans lesquelles l’appartement est parvenu au vendeur par héritage ou par  donation.

N’importe quel héritier, en  retenant qu’il soit traité en mode inégal  la répartition héréditaire, il faudra  dix ans après le décès de celui qui a laissé

L’héritage ou donation, pour faire valoir ses droits, en demandant que la valeur de l’appartement soit considérée à l’intérieur du cumul héréditaire. En pareille situation, vous courrez le gros risque d’être forcé à vendre  l’appartement ou dédommager en payant l’équivalent de la  valeur de l’immeuble aux héritiers concernés. De cette façon, vous n’aurez pas d’ennuis.

8) Si  une société est en vente (de construction, coopérative, société immobilière, ou  n’importe laquelle d’un privé avec activité d’entrepreneur) s’il échoue avant deux ans de la vente, le curateur  pourrait révoquer (c’est-à-dire « annuler ») l’achat et vente et inscrire l’acheteur dans le blanc des créanciers en faillite. En somme, vérifiez l’état  de santé économique de l’entrepreneur. En 2005, il est entré en vigueur le soi-disant « Paquet de garanties » à tutelle des acheteurs.

La réglementation oblige que les constructeurs aient laissés gratuitement à une fidéjussion sur les acomptes versés de l’acheteur et à souscrire une police décennale à garantie des graves risques de l’immeuble. L’obligation, toutefois, vise  ceux qui  vendent l’immeuble avant son achèvement, de sorte que beaucoup de constructeurs vendent l’appartement après l’avoir achevé et donc ne sont pas obligés à prêter les garanties illustrées.

 

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La valeur de l’appartement

Il est de  bonne règle  de s’informer sur les valeurs moyennes de la zone, de façon à pouvoir immédiatement entamer la négociation avec le vendeur, en tenant présent  les conditions objectives du palais et de l’unité immobilière.  On doit  s’entendre  sur la valeur moyenne d’un mètre carré pour un appartement  conditions normales  de manutention.

Souvent, le vendeur doit s’informer sur l’état du marché en multipliant la valeur par la superficie totale et formule la demande sans tenir compte de la variation du prix (à la baisse ou à la hausse) ; il doit tenir compte aussi du type de l’appartement : l’exposition, les finitions,  l’état des infixes et des planchers, murs et des services hygiéniques, des conditions de stabilité dans son ensemble.

D’après la  règle, le vendeur cherche à gagner  le prix le plus élevé possible, souvent supérieur à celui du marché. Donc, une chose est le prix demandé, une autre en est le prix effectif de vente.

La superficie considérée pour la vente est celle  commerciale, qui vient calculée comme suit : la superficie nette de l’appartement, soit 100% de la superficie des murs du périmètre et internes,  50% de la superficie de murs en commun avec autres appartements. Les autres superficies doivent être considérées en orientation comme il suit :

 

Balcons et  terrasses non couvertes                                   

25% de la superficie

Balcons et terrasses couvertes fermées sur 3 côtés       

35% de la superficie

Souffris et  portiques

35% de la superficie

Véranda

60% de la superficie

Jardin exclusif d’appartement

15% de la superficie

Jardin de maison de campagne et petites maisons de campagne

10% de la superficie

Caves et greniers inhabitables

10% de la superficie

Caves et greniers habitables

25% – 50% de la  superficie

           

Des éléments de hausse ou de baisse du prix sont les suivants : 

 

Niveau Demi sous sol                                                                           

– 30%

 

Niveau sous sol                                                                                      

– 20%

 

Rez de chaussée avec jardin                                                  

– 15%

 

Etage  2 sans ascenseur                                                          

– 5%

 

Du troisième étage et  en plus sans ascenseur                        

– 10%

 

Dernier niveau avec ouvertures et  grandes terrasses                                                                                      

+ 20%

 

Habitation avec beaucoup de toilettes                                  

+ 5%

 

Chauffage autonome                                                               

+ 5%

 

 

Absence de chauffage                                                             

 5%

 

Installation électrique pas conforme                                       

 5%





 

Note : Puisque sur le libre marché il n’existe pas de valeurs objectives  absolues et compte surtout l’accord entre les parties ; les indications que nous fournissons relatives aux  suggestions suivantes, servent à donner l’idée de ceux que peuvent être les éléments de négociation.

L’appartement loué subit une dévaluation du prix moyen au mètre carré compris entre  20% et  30%.

 

 

 

 

Les conditions du palais

L’état de bonne conservation d’un palais est visible à n’importe qui, mais des travaux à exécuter ou des défauts dans la structure, qui vous engageront économiquement après l’achat, échappent au coup d’oeil. 

Informez vous s’il y a des problèmes de statique, si  des adaptations de l’installation électrique et thermique ont été exécutées  et celles relatives  à la prévention des incendies.

Ainsi comme nous vous conseillons de  vérifier, s’il y a une  installation de chauffage centralisé, que l’Assemblée de copropriété  n’ait déjà délibérée la  désactivation et la conséquence  d’installations autonomes.

La nécessité de considérables travaux d’entretien ou la restructuration, l’adaptation des installations aux règles de sûreté, l’installation d’une fondation  autonome de chauffage représentent des éléments de négociation.

Les mêmes éléments d’évaluation sont valables concernant la présence ou moins du gaz du méthane, de l’eau dirigée, du réseau de l’égout.  

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Les conditions de l’appartement

En ce qui concerne l’intérieur de l’appartement, un coup d’œil vaut la peine, on peut le faire soi-même, à moins qu’on désire dépenser un peu de sous en engageant  un technicien (architecte, ingénieur, géomètre).

Il ne convient pas, par contre,  avoir confiance au technicien, de ce qu’il vous    dit si vous remarquez des crevasses diffuses et voyantes sur les murs ou sur les plafonds. Le technicien sera en mesure d’évaluer s’il s’agit de simples crevasses  dus au tassement du palais ou de signaux d’alarme pour la statique.

Le dallage et les carrelages    dans la salle de  bain et dans la cuisine  ils doivent être intactes et stables.

En effet, s’il y avait des éléments cassés qui  pourraient résulter difficile, les substituer partiellement retrouvables sur le marché un produit de hors production.  Plus simple contrôler l’état d’usage  du parquet.

S’il est installé depuis longtemps il se présentera avec un manteau de consommation difforme et avec des éléments instables.

Plus délicate est surtout l’évaluation l’installation  électrique. Nous avons dit  combien, il faut être exigeant  par rapport aux obligations d’adaptation aux règles de sûreté, d’installation  ultra ventolier  nécessite d’être substitué puisque les composantes pourraient avoir perdu de la capacité d’isolation. 

Dans les constructions récentes, le constructeur fournit à l’acheteur aussi le petit plan de l’installation électrique.

Dans les vieux appartements, il convient de chercher à reconstruire le tracé au maximum avec l’aide du vendeur. Cela vous sera utile en cas d’interventions partiales ou totales .Un bon électricien, par contre, sera en mesure de distinguer les grandes lignes d’allocation et de passage des fils.

Il est moins difficile vérifier l’état manutentionnaire des infixes et des portes. Si elles sont en bois, déjà en essayant de les fermer, elles montreront leur condition.

À tenir présent que c’est  difficilement un infixe en bois, si défectueux soit-il, peut être arrangé, et le coût de la  réfection  intégrale d’une fenêtre ou d’un portail  est élevé.

En ce qui concerne, l’installation hydrique, sauf l’évaluation à vue de l’état  de fonctionnement, il faut s’informer auprès des copropriétaires. Si vous constatez des fréquentes  pertes ou des infiltrations ; cela montre que l’installation très  usée  et rouillée, et estimé  le  coût   avant d’être remplacée.  Si beaucoup de composantes de l’habitation sont consommées et défectueuses, en tenir compte et profiter de ces circonstances dans la négociation. Une faïence  cassée n’est pas une faïence    à substituer, mais souvent il comporte la substitution intégrale des faïences ; une tuyauterie qui perd l’eau causera les mêmes conséquences.

Donc, on doit traiter sur les coûts de réfection intégrale, et donc toute la composante et non sur un cas isolé à ne pas réparer. 

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Libre ou loué ?

Il  n’existe  pas un problème de peu d’importance, puisque souvent on acquiert un appartement loué  dont la dévaluation selon la circonstance comporte : soit 20 à 30 %  selon l’échéance contractuelle et de la location payée par le  locataire.

Actuellement, on peut se trouver face à deux types de contrats: un contrat à des règles libres avec durée de 4 ans plus 4, ou un contrat à des règles facilité avec durée de 3 ans plus 2. 

Le contrat libre peut être souscrit à l’échéance des premiers quatre ans seulement par nécessité, et à l’échéance des huit ans la fin de la  location.

Le contrat facilité pourra être souscrit  par nécessité seulement à l’échéance des trois ans, et la fin de la location à l’échéance des cinq.

Le dit contrat devra être, dans tous les cas , envoyé six mois avant les respectives échéances. Si le locataire  laisse pas l’appartement tout de suite , vous ne serez pas forcé  à entamer une cause d’expulsion qui, selon les circonstances, peut durer ans. Donc, si vous avez nécessité d’un  appartement pour y aller vite habiter, évitées d’acquérir un  appartement loué.

En présence du locataire, et avant de s’engager  pour l’achat, qu’on vous  donne  une copie du contrat de location pour le faire examiner par un expert : vous pourriez découvrir un contrat irrégulier ou pas souscrit  à temps, avec le risque de devoir continuer  la location pendant bien des années. 

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Les responsabilités du  vendeur

Qui vend doit garantir que l’immobile est exempt  des vices susceptibles d’en compromettre l’emploi  auquel est destiné. Telle garantie n’est pas absolue seulement avec une analogue déclaration sur l’acte notarié, puisque si le vendeur par mauvaise foi cache  la présence de vices, l’acheteur peut demander  la résiliation du contrat de vente ou bien la réduction du prix.

Si le palais, par exemple, devait s’écrouler après très brève période de l’achat, et on a   la preuve que le vendeur était à connaissance de tel risque, on peut demander la résiliation  du contrat, et donc la restitution des sommes payées.

La  dénonciation  des vices doit être fait avant 8 jours de la découverte, et de toute façon pas au-delà d’un an de l’achat. 

Dans l’attente , et donc sur l’acte notarié, il peut se référer à la superficie réelle (vente à mesure) ou bien forfait (à vente à corps).

En général, on indique la vente « à corps ». Dans la vente à mesure, une des parties en attente de stipulation de l’acte notarié , les parties établissent de règle des payement en plusieurs mensualités , mais l’acheteur, en attente d’éclaircissements et de certitudes, peut suspendre le paiement s’il vient à connaissance ou a suspecté que l’appartement a été entre temps offert au vendeur comme garantie réelle ou il fait l’objet des droits autres personnes.  La simplification des situations qui  peut se vérifier, nous l’avons illustrée dans les pages précédentes.

En cas d’ un nouvel appartement, la garantie sur les vices occultes, pas décelables à l’instant de l’achat, dure deux ans et doivent être dénoncée au constructeur avant 60 jours de la découverte.  La responsabilité du constructeur par rapport aux structures portantes de l’édifice, par contre, est décennale et la dénonciation doit être fait avant un an de la découverte.

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Les phases de l’achat et vente  

Dans le  compromis et dans le contrat de vente , on doit insérer le « papier d’identité » de l’appartement. 

L’achat et  la vente peuvent être effectués  à corps ou à mesure.

Le prix établi sur le compromis demandé à la réduction ou l’intégration du prix établi Si, à la consigne, la superficie commerciale résulte supérieure ou inférieure  même d’un  seul  vingtième de celle indiquée sur l’acte notarié  ou sur le compromis.

Dans le contrat de  vente, il est obligatoire : peine de  nullité, l’acte écrit, avec énumération de tous les éléments utiles déterminés  par l’appartement : la description et la position, ainsi que la volonté de vendre et d’acquérir et le prix établi.

Ces sont des éléments que le notaire sait  devoir insérer ;  il faut connaître plutôt les phases précédentes.

Des simples reçus de paiement pour acomptes et des avances pourraient ne pas être des retenues comme valides, si à travers celles-ci  il n’est pas spécifié le motif du versement et les extrêmes de l’appartement. Donc, il est nécessaire de mettre par écrit même le préliminaire du contrat de vente (compromis), qu’il ne représente pas un passage obligé pour arriver à stipulation  de l’acte notarié, mais une garantie pour l’acheteur.

En cas de  manque de compromis ou de la proposition d’achat, l’accord verbal ou des simples reçus de paiement est considéré nul.  Quelle différence  y a –t-il entre compromis et proposition  d’achat ?

Dans le premier cas , les deux parties sont liées au contrat de vente ; dans la seconde, en étant la proposition signée seulement de l’aspirant acheteur, est seulement celles-ci à s’engager et pas le vendeur, qui pourrait nous repenser. Si cela se produisait, l’aspirant acheteur a droit à la restitution des seules sommes versées. 

Les données rapportées sur compromis seront les mêmes à insérer dans l’acte notarié : 

1) nom et nom des parties, date et de lieu de naissance, le domicilie, code fiscal,

2) description de l’appartement, catégorie et extrêmes cadastraux, hôtel particulier, échelle, plan, intérieur, année  de construction, garanties du vendeur environ des hypothèques, conformité urbanistique, habitabilité, morosité des copropriétaires, liens, et l’indication si l’appartement est libre ou est occupée par le  vendeur ou

Par un locataire.

Vérifier si l’appartement indiqué  correspond effectivement à celui que  vous avez  visité, en contrôlant qu’ils soient rapportés correctement les données relatives  au nombre des personnes , à l’échelle, au plan et à l’intérieur.

3) Le prix convenu , les modalités de paiement, le montant d’acompte et d’ éventuelles  autres avances, le terme où sera stipulé l’acte notarié. L’acompte (en général de 2 à 5 mille €, et de toute façon calculée à la valeur de l’immeuble)

peut être confirmatoire ou pénitentielle.

Avec l’acompte confirmatoire, si l’acheteur renonce ou se désiste  du contrat perd l’acompte; si c’est le vendeur, il devra le rendre double. Avec l’acompte pénitentiel  vient d’être  fixée une peinalité  fixe, qui devra être versée sans ultérieures charges par la  partie qui renonce  au contrat.

4) L’éventuelle indication du notaire, qui de règle vient choisi de l’acheteur.

5) S’il est le vendeur à occuper l’appartement, il est conseillé d’établir un temps et des modalités du relâchement, si possible avant la  stipulation de l’acte notarié, et en subordonnant à la libération du logement le paiement  correctionnel de vente.

6)  Attention soutenue  à des éventuelles hypothèques : il est conseillé  d’insérer sur  le compromis une déclaration explicite du vendeur qui confirme la liberté des  charges hypothécaires l’appartement, servitudes, liens architecturaux et du paysage etc.

Si l’immeuble résulte hypothéqué, on demandera l’acquittement ou le dégagement , c’est-à-dire l’effacement de l’hypothèque.

En cas contraire, en séance de  stipulation  notariée, Nous vous conseillons de  retenir le chiffre correspondant à l’hypothèque, en la versant au notaire avec la disposition à délivrer au vendeur  à peine, celui-ci aura obéi à l’effacement de l’hypothèque.

7) Si vous passer du transfert de prêt du vendeur à l’acheteur, ou en cas d’un achat auprès d’un constructeur, on doit indiquer le montant précis du prêt, les  extraits de la dernière  copie payée, l’éventuel financement. Si les versements du prêt, en attente du fractionnement parmi les divers appartements du lieu,  il convient de  payer  directement au constructeur, qui pourra ensuite  verser la somme  à la banque, vérifiez auprès de l’institut de crédit si le versement a été régulièrement exécuté : il  arrive parfois que le constructeur n’ait pas déposé les versements et la banque s’en prend sur les acheteurs. 

8) Sur l’acte notarié, il sera stipulé longtemps après  le compromis, et il sera opportun d’enregistrer le  compromis auprès de l’Agence du Territoire (ex Conservatoire des Registres Immobiliers).

De telle manière, l’acheteur se défend vis-à-vis d’éventuelles transcriptions des « préjudiciables » dans les comparutions du vendeur (par exemple, une saisie). 

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L’Agence immobilière

La complexité des nombreuses vérifications sur un appartement à acquérir, et peu de temps à disposition, portent souvent à se tourner à une agence immobilière.  Les  agents immobiliers autorisés sont inscrits à la Chambre de Commerce, auprès   de laquelle ils ont du  soutenir un examen, et dispose d’une carte de reconnaissance.

La loi prévoit qu’aucune commission ne soit due à une personne qui pratique abusivement la profession.

L’agent immobilier doit, d’après la loi, vérifier la provenance de l’appartement, le titulariat, la présence ou non  des liens et garantir avec des clauses opportunes  le vendeur et l’acheteur. Il est souvent le même agent qui s’active pour repérer un prêt.

À l’acheteur intéressé, il est fait signer, contextuellement au versement d’un acompte, un engagement \ proposition à acquérir, subordonné à l’acceptation du propriétaire.

Pour cela, il devra se prononcer dans 8\10 jours et si entre temps a encaissé (même par l’agence) l’argent  liquide ou le chèque  l’acompte, la proposition est supposée acceptée. 

Un agent immobilier ne peut pas acquérir directement des appartements.

Une agence qui fait cela doit faire bondir une sonnette d’alarme chez le vendeur et chez l’acheteur: presque sûrement il acquerra à des prix moins intéressants pour profiter  un prix de vente supérieure. 

La commission en faveur de l’agence doit  correspondre  avec le vendeur que chez l’acheteur. Aucune loi n’établit combien un agent puisse demander.

Cela dépend  des usages locaux et les indications de la Chambre du  commerce, que cependant, ne n’ont pas de  liens contraignants.

Actuellement, une commission qui ne dépasse pas le 2 pour cents du prix de vente représente une équitable demande, mais beaucoup d’agents se contentent du 1 – 1.5 %. Il faut se rappeler de prétendre la facture, puisque les frais de médiation immobilière sont déductibles sur la déclaration des revenus jusqu’au  maximum de 1.000, 00 €.

Le nominatif de l’agent immobilier, et l’équivalent à lui verser, devront être indiqué dans l’acte notarié.

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Les frais pour l’acte et les impôts

Les frais pour l’acte du contrat de vente (acte notarié) sont à  la charge de l’acheteur et sont en pourcentage proportionnels à la valeur de vente de l’immeuble. Plus  la valeur de l’immeuble est élevée, plus bas sera le pourcentage  exigé par notaire, qui peut osciller entre du 0,7% au 2%.

Lorsque on achète une maison, l’acheteur est tenu, en outre, au paiement de l’impôt de registre, ou alternativement de la TVA(IVA), des impôts hypothécaire et cadastral, qu’ils viennent calculées sur le prix de vente, et selon le statut  juridique du vendeur, comme il suit :

 

VENDEUR                                                                                 

IMPOTS

Acquit auprès de :

 

Entreprise privée “non constructrice” – Entreprise  constructrice ou de restructuration qui vend après 4 ans de la finalisation des travaux ou ouvrages

registre

7%

Hypothécaire

2%

Cadastral

1%

 

 

Entreprise constructrice ou de restructuration qui vend après 4 ans de la finalisation des travaux ou ouvrages

 

Iva

10%

Registre

168%

Hypothécaire

168%

Cadastral

168%

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Les  facilités  pour  l’achat d’une première une maison

Quand on achète  pour la première fois  une maison, on peut  jouir d’un régime fiscal facilité qui consent de payer les impôts  en mesure inférieure par rapport aux impôts  ordinairement dus.    

 

 Acquisition   auprès des privés

Registre

3%

Hypothécaire

168%

Cadastral

168%

 

Acquisition auprès d’une entreprise de construction(ou de restructuration ) entre 4 ans de la finalisation des travaux 

Iva

4%

Registre

168%

Hypothécaire

168%

Cadastral

168%

 

Acquisition  auprès d’une entreprise non constructrice

Acquisition  auprès d’une entreprise constructrice (ou de

Restructuration) au delà  de 4 ans de la finalisation des travaux

Iva

Exempt

Registre

3%

Hypothécaire

168%

Cadastral

168%

 

Pour jouir des facilités « première maison », il n’est pas nécessaire que l’immeuble acquis soit destiné à une  habitation  personnelle  et/ou des membres de la famille. Il est facilité l’achat d’une maison, selon l’usage  qu’on  entend en faire, pourvu que durent les qualités requises que nous verrons dans la suite. Les facilités sont reconnues pendant l’enregistrement de l’acte Elles ne rivalisent pas seulement pour les actes à titre onéreux qui comportent l’achat de la propriété, mais même lorsque l’acte comporte l’achat d’une simple propriété, du droit d’habitation, usages et jouissances.

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Acquisition de compétence ou appartenance

Les facilités pour la première maison reviennent de la même manière pour l’acquisition de l’appartenance, même si elle a été effectuée avec acte séparé, mais  seulement pour une appartenance  pour chacune des catégories cadastrales suivantes:

– C/2 (cave ou grenier) ;

– C/6 (garage ou box auto) ;

– C/7 (hangar ou place auto).

Les unités immobilières classifiées dans les catégories cadastrales peuvent même se trouver à proximité de l’habitation principale mais elles doivent être destinées de façon durable au service de la maison d’habitation. 

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Les qualités requises pour jouir des bénéfices «première maison »

La première qualité indispensable pour jouir des facilités est que l’achat concerne une maison d’habitation  et non  « de luxe », par exemple si elle est supérieure à 160 mètres  carrés , dispose  d’infixes de bois précieux ou marquetés, murs revêtus en soie, une piscine ,etc. 

Vérifiez qu’on acquiert une habitation considérée pas « de luxe », si les bénéfices reviendront, à compter de la catégorie cadastrale de l’immeuble, seulement en présence des conditions déterminées: 

a) l’immobile doit être situé dans la Commune dans laquelle l’acheteur a la résidence ou dans laquelle il entend l’établir dans 18 mois de la stipulation, ou dans la Commune où l’acheteur déroule son activité principale.

b) l’acheteur ne doit pas être titré, exclusif ou en communion avec le conjoint, de droits de propriété, de jouissance, usage et habitation d’une autre maison d’habitation dans le territoire de la Commune où on trouve l’immeuble à acquérir ;

c) il ne pas nécessaire d’être titulaire, même pas pour des parts ou en communion légale, sur tout le territoire national, de droits de propriété, usages,jouissances, habitation ou simple propriété . Sur une  autre maison d’habitation  acquise  même par le conjoint, en jouissant des facilités pour l’achat de la première maison.

Aux contribuables qui n’ont pas la nationalité italienne, la facilité revient seulement en présence de toutes les conditions prévues et, en particulier, lorsque l’acheteur a la résidence dans la Commune dans laquelle on trouve l’immeuble acquis (ou elle l’établit dans 18 mois).

En présence des exigences  énumérés ci –haut , la facilité « première maison » revient même si le bien  est acquis par un mineur non émancipé ou d’autres personnes incapables, que sont frappées d’ interdiction et d’ inhabilité .  Les conditions relatives aux lettres b) et c) et l’engagement à établir la résidence, dans 18 mois, de la part de l’acheteur qui ne réside pas dans la Commune où se  situe l’immeuble qui s’acquiert, doivent être attestées avec  déclaration  expresse  à insérer dans l’acte d’achat.  

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Lorsqu’ on perd  les facilités « première maison »

Le requérant ou l’acheteur déchoit des bénéfices fiscaux jouis en séance d’achat de l’immeuble  si :

– les déclarations rendues dans l’acte d’achat sont fausses ;

– ne transfère pas la résidence dans la commune ou est situé l’immeuble entre 18 mois de l‘achat.

– vend ou donne l’habitation avant le cours de la fin de 5 ans de la date d’achat,à moins qu’il puisse racheter  dans un an, un autre immeuble à destiner comme principale habitation.

Les facilités ne se perdent si entre un an de l’achat de l’achat ou de la donation, le contribuable

Achète un terrain et toujours dans le même délai, réalise un petit édifice non luxueux destiné à une maison d’habitation.

La déchéance des facilités comporte la récupération de la différence de l’impôt versé et des intérêts aussi l’application d’une sanction équivalent à 30% de l’impôt. 

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Comment calcule-t-on  les impôts ?

Les impôts  se calculent sur la valeur de l’immeuble (  base imposable) déclaré sur l’acte notarié .Dans la vente entre les privés ,la valeur de l’immeuble peut correspondre à la valeur cadastrale ,et donc à une valeur inférieure  à celui du marché , à condition que soit indiqué sur l’acte notarié la valeur effective du contrat de vente. 

Lorsque le vendeur est une société ou un privé qui agit dans l’exercice de l’activité  commerciale, la valeur à déclarer est celle du marché effectif. 

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Comment calcule-t-on la valeur cadastrale?

La valeur cadastrale est déterminée en multipliant le revenu cadastral (réévalué de 5% pour les coefficients suivants :

-110 pour la première maison

-120 pour des petits édifices appartenants aux groupes cadastraux  A ,B,C (exclues les catégories A/10 et C/1) ;

-60 pour les petits édifices des catégories A/10 (bureaux et cabinets privés ) ;

-40,8 pour les petits édifices des catégories C/ 1 (magasins et boutiques)  

 

Principales catégories cadastrales

 

Catégorie

Typologie

A/1

Habitation  du type personnel

A/2

Habitation  du type civil

A/3

Habitation du type commercial

A/4

Habitation du type populaire

A/5

Habitation –ultra populaire

A/6

Habitation du type rural

A/7

Habitation en petite campagne

A/8

Habitation en campagne

A/9

Châteaux et Bâtiments  de haut niveau prestigieux artistique et historique.    

A/10

Bureaux et cabinets privés

A/11

Habitation et logements typiques de lieux

 

B/1

Collèges et petits couvents, hospices, convents, séminaire, casernes, etc.

B/2

Centres de santé et hôpitaux

B/3

Prisons et maisons de correction

B/4

Bureaux publics

B/5

Ecoles, laboratoires scientifiques

B/6

Bibliothèques, musées, galerie, académie, etc.

B/7

Chapelles et oratoires non destinés à l’exercice public des cultes  

B/8

Magasins souterrains pour dépôt –

 

C/1

Magasins et boutiques

C/2

Petits magasins et locaux de dépôt

C/3

Laboratoires pour art et métiers

C/4

Petits édifices et locaux pour exercices sportifs

C/5

Etablissements balnéaires et d’eaux curatives

C/6

Etables, écurie, hangar et garages

C/7

Hangars couverts ou non

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Conseils finals pour l’achat d’une maison

Quelques considérations pratiques avant l’achat d’une maison.

Le type d’achat, chez un privé ou chez un constructeur, dépend du budget financier à notre disposition. Il faut tenir compte que les banques ne financent pas, de règle,  une valeur supérieure à 70-75% de l’immeuble, et que, par conséquent, la différence( reste) de 30-35% doit  être disponible au comptant. 

Il y a des banques qui affectent des prêts pour un montant pareil à 100% de la valeur de l’immeuble.  Mais celui qui  dispose d’un revenu qui ne lui  permit pas de mettre de côté des économies, il pourra difficilement  se permettre de payer (sur un prêt de  200.000, 00 € pendant quinze ans) à raison des versements par tranche de 1.600, 00 €/mois.

En effet, la tranche du prêt   supportable est calculée à raison de 33% du revenu, et donc un versement de 1.600, 00 € présuppose un revenu mensuel net environ de 5.000, 00 €. Il faut chercher les Institutions de Crédit (rares) qui concèdent des prêts pour une durée de 25 ou 30 ans, en tenant présent que le prêt doit  être biffé à l’accomplissement des 75 ans d’âge du demandeur.

La voie plus  pratique est de recourir à l’achat d’un  immeuble appartenant à un constructeur ou à une coopérative. Dans ce   cas, en principe, il est versé une avance et  le coût non couvert  du prêt   sera payé par tranches suivant l’état d’avancement des travaux.

En tout cas, avant de procéder à l’achat ,il  s’engager avec compromis, il convient de s’adresser à une banque et demander (mieux ,après une pré délibération valide pour quelque mois) et si  jusqu’à quel montant le prêt sera avec exactitude affecté.

 Il sera plus facile, ensuite, se mettre à la recherche de l’appartement correspondant au financement qui sera affecté. 

 

Voyons quelles sont les typologies des taux intérêt plus d’appliquées sur les prêts :

Taux  fixe: le taux d’intérêt reste fixe pour toute la durée  du prêt. 

Le mutuel à taux  fixe est indiqué lorsque :

– on veut payer des versements égaux et connaître vite le montant global de la dette

– on prévoit une augmentation de l’inflation et donc des taux

– le demandeur est un travailleur employé avec un traitement moyen

Des avantages: le prêt à taux  fixe offre la possibilité d’aménager avec certitude le budget familial, en éliminant le risque lié à l’accroissement des taux. 

 

Taux variable: le taux d’intérêt varie en relation avec  paramètres plus ou moins spécifiquement indiqués dans le contrat de prêt (‘inflation, augmentation du taux de l’argent, etc.). 

Le prêt à taux variable est indiqué lorsque :        

– on veut risquer sur la démarche  de l’économie        

– il se prévoit baisse de l’inflation        

– le demandeur a un revenu moyen haut        

– le prêt  est d’un montant élevé. 

 

Taux mixte:

Le taux fixé initialement peut être modifié aux échéances et aux conditions établies dans le contrat.

Le taux mixte est indiqué lorsque :        

– on prévoit une évolution à la hausse dans une première période et peut-être une baisse dans les années suivantes.         

– le demandeur ne veut pas prendre vite une décision définitive sur le type de taux. 

 

Diverses  banques, en vue de  s’attirer plus de clientèle, elles proposent un taux d’entrée, ou bien un taux publicitaire très bassement appliqué pour une période limitée.

Terminée cette période, il est appliqué le taux prévu par le  contrat. 

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(Traduzione di Soaritony Geneviéve Tombozafy)

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BREVE GUIDA ALL’ACQUISTO DELLA CASA

SHORT GUIDE TO BUYING A HOUSE